



Le résumé : Parry n’a pas tué. Mais les apparences sont contre lui, et le juge le condamne à la détention perpétuelle. Mal nourri, sans femme, sans gin, sans foyer, loin des lumières étincelantes, des foules et de tout ce qu’il aime, il ne lui reste plus qu’à attendre la vieillesse en contemplant les barreaux de sa cage.Mais il refuse de se soumettre et s’évade, engageant une bataille désespérée et solitaire contre le destin, contre la peur, contre les flics et les mouchards, contre les maîtres chanteurs et les bons citoyens.


Mon avis : Un conseil, si vous le trouvez, surtout prenez-le, l’histoire est originale, d’autant plus, pour l’époque… Merci à Maria qui me l’a gentiment donné ! J’ai passé un moment envoutant en le lisant…




Le résumé : Horreur ! Le cran de sûreté était encore mis, sans doute ! Elle le poussa trois ou quatre fois de l’ongle de son pouce. Il n’était pas mis, il était en position de tir. Elle se rappela l’avoir enlevé dans l’escalier.
Il y avait six balles dans le chargeur, lui avait dit Prescott. Six coups, en cas de besoin. La détente fut pressée cinq fois, et cinq fois fit entendre un bruit de métal frappant du métal et rien d’autre. L’arme était vide.
Il devait savoir que le pistolet était vide, cet inconnu à la porte. Il avait dû pénétrer au cours de la journée, dans cette maison même, à un moment où elle n’était pas là, et l’avait vidé, puis remis sous l’oreiller.
Susan eut un cri de désespoir, auquel se mêla un éclat de rire sinistre.
Elle lui lança le pistolet à la tête pour l’écarter, mais il ne fut même pas touché. La vitre endommagée fut frappée à un nouvel endroit, l’arme passa au travers et plongea dans la nuit.
Mon avis : Bien que tout petit, ce polar m’a pris du temps pour en faire le tour. C’est du Irish, avec les situations noires et secrètes qu’il sait si bien faire passer… Comme toute sa bibliographie, j’ai adoré. Pour 1€, que demander de mieux.


Le résumé :
Une disparition, ce n’est pas forcément un meurtre. Encore faut-il trouver le cadavre. Avec tous les trous qui parsèment les rues d’Amsterdam, il est facile de faire disparaître un corps encombrant. Il y a aussi différentes façons de tuer ; et s’il en existait une que la loi n’a pas prévue, contre laquelle on ne peut rien prouver, et qui assure l’impunité ?
Grijpstra, De Gier et le commissaire affrontent un assassin d’une diabolique intelligence dans L’Autre fils de dieu, un des romans essentiels de la saga policière de Wetering.

Mon avis : Cet auteur a beaucoup d’humour, peu importe si il y a « crime » ou pas. L’histoire est agréable à suivre. Seul reproche, pour ce titre : Le dénouement se fait comme dans les vieux polars Anglais, une sorte de huit clos, et ce n’est pas vraiment un procédé que j’apprécie. Sinon, rapport qualité, prix, y a rien à dire !
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