
Résumé : On se marie pour le meilleur… et pour le pire. Deborah, jusque-là, n’a connu que le meilleur. Mère de deux beaux enfants ; vie de rêve… rien ne la préparait à la disparition brutale de son époux. Ce dernier, sans raison apparente, s’est volatilisé du jour au lendemain. Certes, il était parfois un peu absent, étrange peut-être, peu bavard et absorbé par le travail, mais il était également fiable et solide. C’est du moins ce que pensait sa femme jusqu’à ce que le doute s’installe. Que lui est-il arrivé ? Que vient faire le FBI à sa porte ? Des zones d’ombres inquiétantes apparaissent dans le passé de celui dont elle partageait la vie. Des femmes ont été tuées. Deborah a beau se raisonner, les faits troublants s’accumulent. Son mari ne revient pas. Les enquêteur se font plus précis. Connaît-on jamais vraiment les gens, si proches soient-ils de notre quotidien ?…

Tout simplement : une magnifique histoire où il n’y a pas un moment où l’on s’ennuie. Excellent !
En résumé : Waiting period (Le dernier de Selby)
Une personne à la recherche d’une arme pour se suicider, décide finalement de s’en prendre à la société. A travers son personnage, l’auteur décrit sa vision de l’Amérique de Georges Bush Jr.
Mon avis : Déception totale. Après « Le démon » qui est tellement captivant, celui-ci ne vaut vraiment pas le coup de se le procurer. Je l’ai choisie, persuadée, vue le vrai résumé qu’il devait être excellent. Non, Selby est parti dans un délire merdique, un monologue avec sa conscience, il ne se passe rien, franchement trop nul. Pourtant, Selby en a écrit d’autres aussi bien que « Le démon »… A suivre !


Comme ce roman est trop excellent mais qu’il ne présente pas de résumé. Un petit aperçu du personnage principal Harry White pour vous donner une idée :

Harry White est un homme brillant, Harry White est un fils aimant, Harry White est un bon mari, Harry White est un mec bien. Enfin en apparence.
Car en fait Harry ne se sent pas très bien, on peut même dire que Harry a des grosses angoisses. Et pour les évacuer, une seule solution, draguer une fille et coucher avec. Mais un jour cela ne suffira plus a calmer les angoisses d’Harry qui devra trouver d’autres palliatifs.
Un immense roman et une grosse claque c’est ce que je suis dit une fois le livre refermé et le destin d’Harry achevé.
Au fil du livre on assiste à l’ascension sociale d’Harry malgré ses « mauvais penchants » et l’on assistera à la chute évidemment, car cela est écrit, on ne peut pas toujours lutter contre son démon intérieur.

Plus de précisions sur l’oeuvre intégrale de Selby dans une PAGE de mon : LECTURES NOIRES BIS

Pseudonyme de Rene Lodge Brabazon Raymond. Il est né à Ealing, Londres. A dix sept ans il a quitté le domicile pour vivre sa vie. Il a fait plusieurs métiers comme voyageur de commerce pendant deux ans, puis comme vendeur dans une librairie, ce qui l’a incité à écrire son premier livre (Pas d’orchidées pour Miss Blandish) qui a été publié en 1939. Chase n’a pas écrit de séries avec un personnage récurrent, bien que certains apparaissent dans plusieurs romans. Il a écrit sous d’autres pseudonymes, comme Raymond Marshall. 


Dans mon Lectures noires Bis cet auteur a une bonne critique déjà…
G.J Arnaud a écrit plus de 600 bouquins, normal que dans le lot, certains soient meilleurs que d’autres… « Retour de fièvre » se lit, mais le début est lent. Trop de descriptions de décors, on trouve qu’il ne se passe pas grand-chose. Pourtant cet auteur a écrit des polars qui donnent le frisson, sans qu’il soit question de scènes sanglantes. Avec lui, tout est dans les névroses de ses personnages auxquels le lecteur peut facilement s’identifier…
Le résumé :
Un décor de western. Rien n’y manque. Ni les étendues désertiques, les collines pelées, ni les chevaux, ni les armes. On peut aussi y trouver un bon, une brute, un truand, mais chaque personnage n’est aussi simple. Ni tout à fait mauvais, ni tout à fait bon. La fille par exemple : pleine de tendresse, féminine et pourtant beaucoup de caractère.
Dans l’éclaboussure des passions, on est sur le point d’oublier que tout ça se passe en France. Quelque part dans le Sud aride. L’air y est aussi brûlant que dans l’Ouest américain. Et les Apaches portent bien leur nom.
Mais laissez le vieux Lionel Peyrou vous raconter toute l’histoire dans son style inimitable.

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